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Dans la joie pascale, une nouvelle bien triste ! Cependant, ce Bon prêtre a rejoint son Dieu en cet octave, ce qui a du sens !

Nous prions pour lui.

J’ai beaucoup de peine. Il appelait ma dernière fille Philippine ma beauté… et avait préparé ma seconde à la première communion. Mes enfants, et au-delà tous les enfants de notre paroisse, sont bien tristes ce soir. Et nous aussi…

Prenez soin de vous tous et gardez en mémoire cette belle âme.

Quelle tristesse de ne pouvoir nous rassembler pour lui dire « adieu »….

Quel homme de foi il était… au milieu de ses homélies parfois iconoclastes une phrase m’avait marquée «  croire en Dieu ce n’est pas croire qu’il existe mais c’est croire qu’il nous aime »

Nous avions passé un bon moment avec lui au début de l’année mais nous l’avions trouvé vieilli et fatigué par rapport à une précédente visite. On prie pour lui.

La disparition du père Goupy m’attriste beaucoup.

Je garde en mémoire ses homélies, sa profonde gentillesse et son écoute des enfants.

J’appréciais le Père Goupy : son affabilité, son humour, son amour de « grand-père » pour les enfants. Il m’appelait, avec affection, son ministre des finances.

Ses homélies étaient un moment de joie : courtes, souvent drôles, proches des paroissiens et, parfois, un brin « iconoclaste ». Je ne l’oublierai pas..

Je dois à François mon entrée en diaconat car il était responsable de l’année de discernement… et il me manifestait une chaleur amicale qui me touche encore.

Moi non plus je ne l’oublierai jamais.

Le départ du Père Goupy m’attriste profondément. J’étais fan de l’humour de ses homélies, de sa douceur, de son écoute sincère et attentionnée.

Il était touchant et me rappelait les Pères de ma période « caté » à St-Benoit, il y a déjà quelques 50 ans… Il gardera une place particulière dans mon cœur. En prière avec vous tous.

Je serai en union de prière avec vous étant un peu loin de vous tous.
Il va beaucoup nous manquer. J’aimais tout spécialement ses homélies.

Depuis son départ de St-Benoit j’allais très régulièrement voir le Père Goupy à la Maison Marie-Thérèse jusqu’à l’interdiction des visites. Depuis cette interdiction, je lui téléphonai presque tous les jours. Je savais qu’il avait les symptômes du Covid 19 depuis le 3-4 avril ; je l’ai eu au téléphone le jeudi Saint et le lendemain il n’était plus joignable… Ce matin la maison Marie-Thérèse m’a fait part de son retour à Dieu.