HOPITAUX ET MAISONS DE RETRAITE

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Hôpital Corentin Celton

L’équipe de l’aumônerie de l’Hôpital Corentin Celton propose l’accompagnement spirituel des personnes hospitalisées :

  • visite auprès des malades une fois par semaine
  • messe chaque samedi à l’oratoire de l’Hôpital Corentin-Celton (réservée aux patients et membres de l’hôpital)

Pour accomplir notre mission, nous recherchons des bénévoles :
– pour assurer les visites
– pour assurer l’accompagnement à la messe du samedi
– pour animer les messes (chorales, animateurs de chants, instrumentistes….)
Selon ses compétences et sa disponibilité, il y a place pour tous dans notre équipe !

Contact :

Marie-Ange de Fesquet
aumonerie.corentin@ccl.aphp.fr
01 58 00 48 24 – 06 87 19 10 66

https://www.aumoneriecorentincelton.com

Maison de retraite Lasserre

4 rue Séverine

– Une messe est célébrée tous les samedis à 15h
– Une équipe de bénévoles est au service des résidents.

Maison de retraite Sainte-Lucie

43 allée Sainte Lucie

– Tous les vendredis en alternance à 17h, messe ou chapelet.
– Une équipe de bénévoles est en place. Contact : Mme Armelle Marcé, 01 46 45 21 65.

Maison de retraite REPOTEL

Une messe est célébrée un vendredi sur deux à 16h30. Contact :  Edith Mealin, 01 46 42 27 12
Des visites sont assurées au long de la semaine.
Le dimanche, un service de conduite des personnes âgées à la messe de 10h30 à St-Etienne.
Contact : François Dromard, tél. 09 50 46 52 39

La résidence du parc

20 rue de l’abbé Derry
François Dromard visite quelques personnes âgées. D’autres volontaires seraient les bienvenus pour ce service.

L’Hôpital Suisse

Une ou deux personnes portent la communion de manière régulière à des malades de l’hôpital suisse. Souvent les prêtres sont sollicités pour le sacrement des malades ou pour la communion. Il manque des visiteurs.

Résidence Neuf Muses

31/33 boulevard Gallieni
Chaque vendredi matin, un moment de prière est partagé avec environ 30 résidents.
Contact : Maurice Godinot et Annie Sebaon, 01 40 93 05 34.

PERSONNES A DOMICILE

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Vous êtes malade chez vous, immobilisé momentanément ou de façon durable,
vous souhaitez une visite chrétienne ou un sacrement, contactez votre paroisse.

L’hôpital peut être un lieu de joie et de paix, à nous de l’investir…

La solitude à l’hôpital Corentin Celton prend des formes bien différentes, selon l’histoire des personnes : solitude du grand âge parce que l’on n’a plus ni famille, ni amis, trop éloignés, trop âgés pour venir ou déjà morts.. Solitude du handicap, vue, ouïe, paralysie. Solitude des personnes à l’histoire familiale brisée, solitude de ceux qui n’ont investi que sur l’avoir, oubliant de cultiver les relations humaines et le don de soi. Solitude de la maladie psychique. Solitude de celui dont la mémoire a flanché. Solitude de celui ou celle qui va mourir : on lui cache l’imminence du passage, on a peur de lui faire peur ! Alors, dans cet univers de souffrance morale et physique plus de bonheur possible, plus de joie ?

Nous avons au contraire la conviction que le soin apporté à chacun, et en particulier le soin spirituel est prodigieusement réparateur : mieux, ce soin restaure dans sa dignité d’être humain celui qui doute et désespère.
Semaine après semaine, chaque bénévole réconforte, écoute, prie, offre à Dieu cette souffrance que Jésus a sanctifiée une fois pour toutes. Dans la foi et l’espérance, nous accompagnons avec le Christ qui nous précède dans chaque chambre l’humanité blessée par le péché, la maladie et quand cela est possible, nous accompagnons les derniers moments du mourant. Quand la mort se profile, il y a un temps privilégié pour la réconciliation avec soi-même, avec sa famille, ceux que l’on aime et qu’on va laisser, avec Dieu qui attend notre oui. Moment d’ultime liberté qu’il ne faut jamais escamoter tant il est riche, intense et même d’une joie profonde : moment que nous chrétiens devons accepter dans un dernier Fiat, sans crainte et sans regret. La pire des solitudes, à l’hôpital ou ailleurs est celle de l’enfermement volontaire, celle du péché, celle d’une vie sans amour, sans attention à l’autre, sans pardon.

Ainsi, chaque membre de l’équipe, semaine après semaine, écoute, réconforte, partage, propose s’il y a lieu un temps de prière, la participation à la messe du samedi, la rencontre avec un prêtre, le sacrement des malades ou de réconciliation. Nous échangeons avec les soignants qui orientent aussi nos visites vers telle ou telle personne. Une fois par mois, nous nous réunissons pour prier, partager nos joies et nos peines, nos difficultés. D’autres bénévoles assurent chaque samedi l’accompagnement à la messe de 16h30.
Nous échangeons avec nos frères protestants également présents dans l’hôpital, nous participons à des formations régulièrement proposées par le diocèse et nous essayons de tisser des liens avec les autres établissements de santé de la ville.

Ce service, au nom du Seigneur, est pour nous une grâce. Donner du temps, de l’énergie nous aide à nous décentrer de nous-mêmes pour nous attacher au Christ Sauveur. L’hôpital peut être un lieu de joie et de paix, à nous de l’investir…