J’appréciais le Père Goupy : son affabilité, son humour, son amour de « grand-père » pour les enfants. Il m’appelait, avec affection, son ministre des finances.

Ses homélies étaient un moment de joie : courtes, souvent drôles, proches des paroissiens et, parfois, un brin « iconoclaste ». Je ne l’oublierai pas..